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Le droit de mourir dans la dignité est inaliénable

Un référendum est lancé par EXIT pour sauvegarder un droit essentiel. Le 1er septembre, le parlement genevois a abrogé l’article 39A de la Loi sur la santé qui exigeait des établissements médico-sociaux privés comme publics à accepter l’assistance au suicide dans leurs locaux. Cette pratique est encadrée depuis des décennies par une loi débattue maintes fois entrée en vigueur et dans les mœurs que beaucoup dans le monde nous envient. La preuve en est le nombre de candidats étrangers autant que nationaux qui y font recours.

Pour rappel, cet article en particulier basé sur notre Constitution fédérale et la Déclaration Européenne des Droits de l’Homme a été adopté le 24 mai 2018. Il assurait ainsi le droit d’un individu de décider de quelle manière et à quel moment sa vie doit prendre fin selon des critères d’auto-détermination élaborés.

Cette abrogation constitue un retour en arrière certain au regard de la loi vaudoise (2013), neuchâteloise (2014) et valaisanne (2022) et plus fondamentalement pour la dignité de mourir en dignité chèrement acquis.

Outrée par cette décision politique, l’association EXIT estime qu’une telle remise en cause est inacceptable car elle est une atteinte à la liberté humaine d’exercer un droit existentiel et éthique si important, ce pourquoi elle invite à signer le référendum au plus vite, dès sa réception dans les boîtes aux lettres.

Parce que c'est l'affaire de tous et que nul n'a le droit d'empêcher un droit de l'homme universel, transversal et indivisible ...

 

 

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