Une réflexion s’impose dans le domaine de la digitalisation des données et de leur impact en Suisse et à l’international.
Partant du principe qu’au Portugal et en Allemagne, les citoyens votent électroniquement sur les affaires courantes pour la vie communale, en Argentine et en Australie, les électeurs se prononcent sur les objets parlementaires et qu’en Estonie, on peut exercer une forme de citoyenneté virtuelle allant jusqu’à permettre de fonder des entreprises, on en déduit que la Suisse apparaît comme le parent pauvre dans le domaine de la démocratie numérique.